Jarod
sortait de sa réunion . Il avait réussi à convaincre
tout le monde . Ca létonnait encore que plus personne ne le
considère comme un animal de laboratoire, mais comme un nouveau patron
avec des idées et des projets denfant de chur
Il
sortait maintenant de la porte principale du Centre et se retourna : personne
ne lempêchait de sortir . Il avait toujours eu des doutes sur
linfluence des parchemins . Mais maintenant, en regardant le Centre,
devant lui, il lui sembla que tout était possible . Il monta dans
sa nouvelle voiture et rejoint sa famille, et se rappela soudain quil
navait pas vu Parker à la réunion . « elle nétait
peut-être pas prête à entendre mes brillantes idées
qui vont changer la face du Centre » se dit-il en souriant
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Parker sortit soudain
de son sommeil . Elle était dans un lit dhôpital et
Broots et Sydney étaient à côté delle
.
« mais quest-ce que je fais ici, nom de dieu ? ! ! ! !»
sécria-t-elle .
Sydney ne parut pas surpris tandis Broots fit plusieurs pas en arrière
.
Le médecin fit irruption dans la chambre . Il sourit et dit :
_ Tiens, vous vous êtes réveillée, est-ce que vous
savez que vous nous avez fait très peur, mademoiselle Parker ?
Vous avez fait une chute grandiose dans les escaliers . Vous êtes
ici depuis vendredi dernier .
_ Vous voulez dire que je suis restée dans cet endroit infect pendant
deux jours ? Mais, quest-ce que je fichais, bon sang ? !
_ Vous étiez tout simplement dans le coma .
_ Rien que ça ? Vous, vous vous fichez de moi !
_ Il a raison, Mlle Parker . répondit Sydney dune voix douce
.Il sétait habitué depuis longtemps à lagressivité
de la jeune femme . Broots, lui, préférait rester à
lécart lors de ses fréquents excès de colères
.
_ Quand est-ce que vous me lâcherez un peu tous les deux ? répliqua-t-elle
.
_ Comment vas-tu Parker ? Jarod venait dentrer dans la pièce,
elle lui jeta un regard noir . Bien, après réflexion, compléta-t-il
dun regard moqueur . Je croyais que tu ne te réveillerais
pas
_ tu le souhaitais, tu veux dire ? répliqua-t-elle .Elle nétait
même pas étonnée quil soit là .
Il la regarda un instant . Elle croisait les bras dun petit
air impertinent . Ca faisait bizarre de la voir avec ces bleus aux bras
et cette bosse sur son front .
_ Pour que tu viennes mhanter dans mes cauchemars ? Cest une
plaisanterie jespère ?
_ Bon, je sors dici, dit-elle
_ Heu, oui daccord, répondit le docteur .
_ Vous croyez que jai besoin de votre permission ? Et quest-ce
que vous faites encore ici vous, semporta-t-elle, allez voir ailleurs
si jy suis ! ! !
Il ne se le fit pas dire deux fois et parti en vitesse . Ce nétait
pas sa faute, mais elle avait besoin de se défouler sur quelquun
. Jarod et elle sétait toujours comportés ainsi et
ses nerfs ne le supportait pas .
Mais maintenant, le jeu du chat et la souris était terminé
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